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Histoires, comptines et poèmes
17 février 2012

LES HISTOIRES A DORMIR DEBOUT D’ARTHUR

LES HISTOIRES A DORMIR DEBOUT D’ARTHUR

Bonjour, je suis Arthur le petit lutin des bois. Je vais vous conter mes aventures : 

Ce matin, au détour d’un chemin dans la forêt, je rencontre la belle au bois dormant, je l’embrasse et……. elle se change en colombe. Elle s’envole aussitôt retrouver le prince charmant que j’ai auparavant rendu aveugle et qui est, depuis de très longues années perdu dans la grande forêt de Cherwood. Quand elle arrive près de lui, sa beauté est si grande que le bon prince vaillant retrouve la vue, l’embrasse tendrement et la colombe redevint jolie princesse.

 

Dans cette même forêt, le même jour, je rencontre un petit lapin et un faon qui s’amusent à poursuivre un papillon jaune. Aussitôt je change le papillon en petite chenille verte. Tandis que la chenille chute, je la munie d’un minuscule parachute pour qu’elle ne se fasse pas mal en tombant sur les feuilles qui jonchent le sol.

 

C’est par une matinée d’automne ensoleillée que je croise par le plus grand des hasards, le bon ami Robin des bois, dans cette même forêt. Il me fait part de son souhait de délivrer la belle Marianne retenue prisonnière dans la maison des 7 nains.
Pour aider mon ami Robin, je décide de faire appel au grand méchant loup. Je lui demande de souffler, souffler et souffler encore sur la chaumière des nains, jusqu’à ce que la maisonnette s’envole et que Marianne soit libre.
Peter-pan qui passe par là, lui prend la main et ils s’envolent au dessus des arbres en chantant gaiement. Ils retrouvent Robin qui embrasse tendrement Marianne sur la bouche.

  

En m’approchant de la clairière, je vois un petit d’homme qui fait de la balançoire sur le ventre d’un gros singe, qui se balance pendu à une branche. Pour lui jouer un petit tour, avec ma poudre magique, je lui fais des bras si longs qu’ils touchent presque le sol et que Mowgli ne peut plus se balancer. Un éléphant fait trembler le sol. J’ai si peur que le change en souris verte. Elle se met à courir dans l’herbe mais un gentil monsieur qui porte un grand et haut chapeau l’attrape par la queue. J’ai peur qu’il la trempe dans l’huile bouillante, alors je transforme le monsieur et son grand chapeau en citrouille.

Une citrouille ça n’est pas très drôle, donc, je décide de la changer en carrosse d’ou sort comme par enchantement la fée et sa filleule cendrillon. Pour m’amuser, je décide de changer ses pantoufles de verres en bottes de sept lieux. Cendrillon fait alors un petit pas qui l’emporte au-dessus des montagnes, tout près des nuages. Elle y découvre un haricot géant et se met en quête de gravir jusqu’à la cime de ce haricot rigolo. Au bout d’un sacré moment, elle atteint enfin le sommet et ouvre de grands yeux. Un puits. Il n’y a qu’un puits.
Elle se penche pour tenter d’y voir le fond et je décide alors malicieusement de la faire basculer dans le trou.
Cendrillon chute, chute, chute encore et encore. Cela semble durer une éternité quand enfin elle s’effondre doucement sur un tapis de mousse.

Cendrillon se relève et aperçoit un lapin blanc très énervé. Je transforme aussitôt sa montre en lit douillet et son agitation en sommeil profond. Quel calme à présent ! La princesse avance timidement dans ce merveilleux jardin où les arbres sont couverts de friandises. Elle croise en chemin un petit lion qui répond au nom de Simba. Il s’amuse à gober les mouches avec un phacochère qui sent merveilleusement bon la lavande (encore un petit truc à moi).

 

Un coup de vent et hop, je me retrouve dans les airs, libre comme Evinrude la libellule transparente. Je croise tout à fait par hasard vous n’en doutez pas, un gros oiseau blanc (un cormoran) avec deux timides souris sur le dos. Poliment elles me font un petit signe, que je renvois en mille petits bisous tous doux. Je m’amuse à faire du trampoline sur les nuages tous blancs. Il se met à neiger. Mais un peu de poussière magique et le soleil demeure partout sur le pays. Il neige sous un grand soleil…….comme c’est doux et bon…….et c’est très rigolo de pouvoir faire un bonhomme de neige en maillot de bain. Les enfants du village d’en bas s’en aperçoivent très vite.

Mais déjà la nuit tombe, je dois m’en aller retrouver ma femme et mes deux enfants dans la petite caverne près du gros chêne, dans la forêt sombre de Cherwood. Ce soir, je conterai à mes petits lutins chéris mes folles aventures.

Je reviendrai je vous le promet……..soyez sages mais pas trop ! soyez imaginatifs et surtout n’hésitez pas à utiliser cette poudre magique que seuls vous et moi possédons.
Bonne nuit les enfants et……….faites de beaux rêves

 

FIN

Annaïck


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